Interview de S.E. Harmon, L'étrange disparition de Amy Greene

Interview de S.E. Harmon, L'étrange disparition de Amy Greene

Crois-tu dans l’existence des fantômes ?

Techniquement je devrais dire non. Je suis de nature sceptique et j’ai fait des études en sciences, donc c’est compliqué de croire au surnaturel. C’est pour ça que le personnage de Rain m’a attiré, c’est un homme de science et rationnel, forcé de se confronter à des choses qu’il sait qu’elles ne devraient pas exister. Cela dit il y a tant de choses dans l’univers qu’on ne connaît pas et qu’on ne comprend pas. Donc j’espère avoir tort (que des gentils fantômes, par contre, s’il vous plait) !

 

Quelle est pour toi la réplique la plus drôle de Rain ?

Question compliquée ! Le sarcasme est le langage de l’amour de Rain. Mais dans le premier tome, je dirais que la réplique la plus drôle selon moi était : 

« Rainstorm se suffisait à lui-même, heureusement. Mes parents avaient proposé de rectifier cela, mais j’avais décliné. En grande partie parce que ma mère était folle du prénom Moobeam – rayon de lune – et que ça se serait mal fini. Ils se seraient juste retrouvés avec un docteur Rainstorm Moonbeam Christiansen très irrité, faisant appel à une cour de justice, armé d’un formulaire de changement de nom. »

 

Quelles sont tes sources d’inspiration pour cette histoire ?

J’écris toujours sur ce que j’aime lire. L’un de mes tropes préférés est le personnage qui est le seul capable de faire quelque chose, personne d’autre ne le peut. C’est encore mieux si personne ne le croit au début. J’ai également dû faire face à beaucoup de deuils, ce dont je pense ne pas être la seule. Je me suis donc toujours dit que ça serait incroyable de pouvoir parler aux morts… Comme un dernier lien avec ces personnes qui comptaient tant.   


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