Après avoir écrit pendant des années sans jamais trouver l’inspiration, Keira à découvert sa voix et une passion pour la romance gay. Que ce soit du contemporain, de l’historique, du paranormal ou du fantastique, elle aime parsemer ses récits d’angoisse amenant à une fin heureuse. Car comme la dit Oscar Wilde : “The good ended happily, and the bad unhappily. That is what fiction means.”