Alors qu’elle n’était qu’une enfant, Noëmie mentait comme elle respirait pour rendre la vie plus intéressante. Heureusement, elle a vite appris à écrire et à déverser sur papier, puis sur clavier, son imagination (trop) débordante. Aujourd’hui, elle apprend à finir toutes les histoires qu’elle a commencées, mais se laisse facilement distraire par celles qui restent à raconter.