Interview de Tara Sivec

Interview de Tara Sivec

  1. Comment vous est venue l’envie d’écrire ?

Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours écrit des poèmes ou des nouvelles. Si je lisais un livre dont je n’aimais pas la fin, je sortais mon ordinateur et je m’écrivais une fin qui me rendait plus heureuse. C’est la lecture de la saga Twilight qui m’a réellement lancée sur le chemin de l’édition, toutefois. Ces livres m’ont fait connaître le monde de la fanfiction Twilight. J’en ai écrit quelques-unes, et l’une d’entre elles a fini par devenir mon tout premier livre publié : Seduction and Snacks. 

 

  1. Si vous deviez conseiller votre livre à nos lecteurs, que diriez-vous ?

Ce n’est clairement pas ce à quoi vous pourriez vous attendre de ma part. On me connaît surtout pour mes comédies romantiques, alors qu’il n’y a rien de drôle dans Des cris dans l’inconnu. C’est un thriller psychologique qui va littéralement vous retourner le cerveau. 

 

  1. Est-ce que l'histoire a connu des bouleversements imprévus au cours de son écriture ?

Je ne fais pas vraiment de plan avant d’écrire mes romans. J’ai une idée générale de ce que sera l’histoire, et je sais ce qu’il adviendra dans le premier chapitre, en gros, mais après ça, je laisse les personnages me dire où ils doivent aller et ce qu’ils doivent faire. Les rebondissements de Des cris dans l’inconnu vous étonneront autant qu’ils m’ont étonnée moi ! 

 

  1. Quels sont les romans qui ont eu le plus d'influence sur votre vie ?

Je serais bien incapable de tous les citer ! Chaque livre que je lis m’influence d’une manière ou d’une autre, que ce soit en me rendant heureuse, en me faisant oublier le monde réel pendant un petit temps, ou m’inspire, ou encore m’apprend quelque chose. 

 

  1. Avez-vous un « rituel d’écriture » ?

Je crois qu’on peut dire que je suis superstitieuse sur quelques points pour ce qui est de l’écriture. Une fois que j’ai choisi un endroit où m’asseoir pour commencer un livre, je dois absolument m’asseoir au même endroit chaque fois que je le reprends, jusqu’à ce que j’aie terminé de l’écrire. Je mets aussi des mitaines quand j’écris, et ce même si c’est le beau milieu de l’été et qu’il fait une chaleur monstre dehors. Si je fais ces deux choses, c’est parce que j’ai le sentiment qu’elles m’ont aidée jusqu’à présent et que si je venais à changer quelque chose, je ne pourrais plus jamais trouver de nouveaux mots à coucher sur le papier MDR ! 

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