1 / Pouvez-vous décrire en quelques mots votre parcours ?
J’écris depuis très longtemps (dès que j’ai su écrire des sons, je crois), mais je n’ai osé tenter l’aventure de la publication que très récemment, puisque mon premier roman est sorti aux Éditions Bookmark en juin 2018. Depuis, je suis gâtée, deux de mes séries sont sorties chez eux, ainsi qu’une romance de Noël co-écrite avec Adeline Dias. Cette année, ils publieront trois autres de mes textes, dont Le Sang de la discorde. J’ai beaucoup de chance, je le sais.
2 / Vous touchez à tous les genres, aussi bien l'imaginaire, la romance ou l'urban fantasy. Lequel préférez-vous aborder, et pourquoi ?
Je n’ai pas de préférence, à vrai dire. Les histoires me « tombent » dessus comme ça et je m’adapte, ou j’obéis, selon l’urgence avec laquelle elles s’imposent. Mais je pense que les genres que je choisis alors correspondent à mes aspirations du moment. Je dois bien avouer que l’imaginaire au sens large me semble plus « facile » à écrire. J’écris pour me détendre, par plaisir, et donc c’est pour moi la meilleure façon d’y parvenir, laisser courir mon imagination et inventer ce que je ne trouve pas dans ma vraie vie. Dans tous les cas, j’aime aborder des sujets qui me tiennent à cœur que je glisse en filigrane.
3 / Si vous deviez choisir trois mots pour présenter Le sang de la discorde ?
J’en ai quatre, c’est grave ? Sacrifice, Loyauté, Danger et Traque.
4 / Pourquoi avoir choisi le renard dans Le sang de la discorde ?
Le choix de la raison : les métamorphes renards sont moins utilisés dans l’urban fantasy et je trouvais sympa d’exploiter ce filon.
Le choix du cœur : j’adore les renards. Ils me fascinent et j’aimerais bien qu’on cesse de les qualifier de nuisibles. Vous verrez, Rafael n’a rien de nuisible. Quoique, pour ses ennemis, peut-être ?
5 / Quels sont vos prochains projets ?
Écrire le dernier tome de la série « Au-delà de la porte », qu’on me réclame trop souvent. Finaliser un urban fantasy (avec des vampires, j’ai cédé à l’envie, je suis faible) que j’ai écrit le semestre dernier, et pour le reste de l’année, il va me falloir choisir entre deux projets qui sont déjà tramés sur le papier, deux romances, l’une très légère, l’autre pas du tout. On verra l’humeur du moment. Et puis, je me connais, d’ici là, ma tête peut faire des siennes et m’imposer tout autre chose.
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